Situation d’intervention
J’ai souvent des appels de père et de mère qui s’inquiètent pour leurs enfants adolescents. Doués mais en difficulté. Ils souhaiteraient que les êtres qu’ils aiment le plus au monde aillent mieux, se débrouillent mieux, agissent plus, ou soient moins stressés ou isolés socialement.
En tant que père d’un atypique et atypique moi-même, je comprends cette souffrance.
À partir de 16-17 ans, il devient possible de travailler en coaching dans une logique d’autonomisation progressive.
Avant cet âge, les enfants ne sont pas assez conscients de leur limite pour travailler en coaching : je peux alors travailler avec les parents directement. Et il a toujours des exceptions.
Plus l’adolescent est atypique dans sa façon de construire le monde, plus il souffre de sa différence, plus le travail de conscience et de confiance en lui sera profitable et pourra commencer tôt.
Objectif du coaching
- se connaître mieux soit même
- maitriser ou écouter davantage ses propres émotions. Pas celle de son environnement
- apprendre à faire avec les autres en les comprenant plus. Et en comprenant ce que les autres ne comprennent pas
- accepter concrètement de payer le prix de ce que l’on désire
- sentir que l’on désire quelque chose nous même !
- s’accepter pour ce qu’on est : atypique
Concrètement pour démarrer ?
Je reçois l’adolescent et un, au moins, de ses parents pendant une heure gratuitement.
Si nous estimons tous pouvoir travailler ensemble, je reçois l’adolescent seul pendant le temps nécessaire une ou deux fois par mois.